«Cinq internes ont été tués par l’hôpital depuis le début de l’année. Un tous les 18 jours, c’est du jamais vu», a dénoncé Gaétan Casanova, président de l’Intersyndicale nationale des internes (Isni), qui avait organisé ce rassemblement en hommage à ces cinq internes décédés.
«Tous ont des situations différentes, des souffrances différentes, mais à chaque fois il y a quelque chose qui revient, c’est que l’hôpital et les études de médecine sont venus comme un déclencheur de cette souffrance par l’épuisement au travail, le harcèlement, la difficulté et la pression des concours», a t-il ajouté au micro de l’AFP.
Samedi 17 avril à Paris et devant le ministère de la Santé, une quarantaine de personnes ont rendu hommage aux cinq étudiants en médecine qui se sont suicidés depuis le début de l’année.
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